Ce sont les mêmes qui aujourd’hui nient les faits de la deuxième guerre mondiale, des crimes nazis (pour créer un signe d’égalité entre communistes et nazis) qui ont été et demeurent les meilleurs supporters de la paranoïa colonialiste et fasciste d’Israël à l’égard du peuple palestinien, directement ou indirectement. Comme ils sont ici les complices de l’extrême-droite. Lisez ce texte, ce pauvre homme veut simplement manger du gâteau pas partir en Israêl… Qu’irait-il y faire, lui qui ne parle probablement que le roumain et le yddish? Il a vécu la peur au ventre, Liberman les dirigeants isaréliens l’entretiendrait pour provoquer sa haine des arabes qui ne lui ont rien fait .Reconnaître ses souffrances comme celle des esclaves noirs, des amérindiens, des tziganes c’est aussi s’engager aux côtés de ceux qui subissent l’injustice aujourd’hui à commencer par le peuple palestinien. C’est aussi comprendre la nature réelle de ce continent européen, berceau du capitalisme, qui prétend être celui des droits de l’homme, et qui a pour palmarés le massacre des indiens, l’esclavage africain, deux guerres mondiales, l’holocauste et qui aujourd’hui soutient l’empire nord-américain dans ses pires errances. A quel titre s’arroge-t-il le droit de juger l’humanité.(note de DB)
Traduit par Mehdi Chebana . Publié dans la presse : 22 janvier 2010
Mise en ligne : jeudi 18 février 2010
Le tribunal de Galaţi a récemment condamné l’État roumain « pour les souffrances et les abus » infligés à deux frères juifs déportés en Transnistrie entre 1941 et 1945, sous le régime du Maréchal Antonescu. Une première judiciaire qui pourrait faire jurisprudence, 70 ans après les violents pogroms organisés dans le pays.
Par Mirela Corlățan